Début 1950, Mariano Pelaez Garcia avait été arrêté à Barcelone pour activités antifranquistes avec Antonio Soriano Ruiz et Antonio Reverter Pedro.
Le dictionnaire des guérilleros et résistants antifranquistes, tente de répertorier les hommes et femmes de toutes tendances (anarchistes, communistes, socialistes, sans parti) ayant participé pendant près de quarante ans, (1936-1975) souvent au prix de leurs vies ou de longues années de prison et souvent dans une indifférence générale, à la lutte contre la dictature franquiste. Ce travail a été commencé il y a plus de vingt ans par l’historien libertaire Antonio Tellez Sola (1921-2005) en collaboration avec Rolf Dupuy du [*Centre International de Recherches sur l’Anarchisme*] (CIRA).
Début 1950, Mariano Pelaez Garcia avait été arrêté à Barcelone pour activités antifranquistes avec Antonio Soriano Ruiz et Antonio Reverter Pedro.
Secrétaire des Jeunesses du PSUC, Vicente Peñarroya avait été arrêté avec une trentaine d’autres en avril 1945 lors de la rafle qui avait décapité le PSUC et l’Agrupacion guerrillera de Catalunya.
Ancien militant de l’UGT, Gumersindo Pedrol Fernandez, que la police qualifiait de « quasi analphabète » » et qui avait prêté son logement ai moins à une reprise pour y stocker de la propagande, avait été arrêté lors des rafles de 1947 contre le PSUC et l’Agrupacion guerrillera de Catalunya ; il (…)
Pendant la guerre Ramon Peña Ibañez militait à l’UGT et était chargé de la collecte des cotisations à la maison d’édition Labor. Au milieu des années 1940, il servait d’agent de liaison et détenait à son domicile les archives des jeunesses socialistes unifiées (JSU). Arrêté lors des rafles de (…)
Juan de la Peña avait été arrêté à la fin de la guerre et condamné à une lourde peine de prison pour ses activités malgré son jeune âge. En 1948 il était à la prison d’Ocaña où il avait participé à la préparation de l’évasion le 8 mai de 12 militants de la CNT (voir José Yanez Garcia), ce qui (…)