Militant de la CNT ou de l’UGT, Alfredo Jorda avait été condamné à 6 ans de prison. Au milieu des années 1940, son domicile de Canaleja servit de point d’appui et cachette à des guérilleros de la zone.
Le dictionnaire des guérilleros et résistants antifranquistes, tente de répertorier les hommes et femmes de toutes tendances (anarchistes, communistes, socialistes, sans parti) ayant participé pendant près de quarante ans, (1936-1975) souvent au prix de leurs vies ou de longues années de prison et souvent dans une indifférence générale, à la lutte contre la dictature franquiste. Ce travail a été commencé il y a plus de vingt ans par l’historien libertaire Antonio Tellez Sola (1921-2005) en collaboration avec Rolf Dupuy du [*Centre International de Recherches sur l’Anarchisme*] (CIRA).
Militant de la CNT ou de l’UGT, Alfredo Jorda avait été condamné à 6 ans de prison. Au milieu des années 1940, son domicile de Canaleja servit de point d’appui et cachette à des guérilleros de la zone.
Ai milieu des années 1940, José Juan Rozalen était ‘un des points d’appui de la guérilla à El Jardin (Albacete). Il entra ensuite en contact à Reolid avec le guérillero cénétiste Francisco Gomar Toro El Valenciano qui le chargea d’établir de nouvelles bases dont l’une des plus sûres, sera celle (…)
Ricardo Juan Amoros Almari était avec Florentino Dominguez Gomez, l’un des capitaines du 4e Bataillon de guérilleros, commandé par Anselmo Ramirez Fernandez, qui en octobre 1944, dans le cadre de l’opération Reconquista de España, avait pénétré au Val d’Aran.
Juan Joher Polo Mitus était le capitaine du 1er Bataillon de la 468e Brigade de guérilleros qui, dans le cadre de l’opération Reconquista de España, avait pénétré au Val d’Aran le 14 octobre 1944. Le bataillon était commandé par Ricardo Piquer Montañana Tato.
José el pastor était en 1944 le responsable de la CNT de Villaviciosa (Cordoba) et assurait les contacts avec la Fédération comarcale dont le secrétaire était Antonio Ramos Palomares.