Juan de la Peña avait été arrêté à la fin de la guerre et condamné à une lourde peine de prison pour ses activités malgré son jeune âge. En 1948 il était à la prison d’Ocaña où il avait participé à la préparation de l’évasion le 8 mai de 12 militants de la CNT (voir José Yanez Garcia), ce qui lui valut de subir comme d’autres prisonniers la repression et une mise au cachot.
Après la mort de Franco, il milita au syndicat CNT de la construction à Madrid. A sa retraite il s’installa à Alcobendas (Madrid) où il était membre du SOV-CNT. Peu avant sa mort en 1988, il s’était chargé de diffuser le journal Cenit aux compagnons isolés, le SOV s’étant dissous.