Andrea Pereira avait été arrêtée en avril 1945 lors de la rafle qui avait décapité le PSUC et l’Agrupación guerrillera de Catalunya.
Le dictionnaire des guérilleros et résistants antifranquistes, tente de répertorier les hommes et femmes de toutes tendances (anarchistes, communistes, socialistes, sans parti) ayant participé pendant près de quarante ans, (1936-1975) souvent au prix de leurs vies ou de longues années de prison et souvent dans une indifférence générale, à la lutte contre la dictature franquiste. Ce travail a été commencé il y a plus de vingt ans par l’historien libertaire Antonio Tellez Sola (1921-2005) en collaboration avec Rolf Dupuy du [*Centre International de Recherches sur l’Anarchisme*] (CIRA).
Andrea Pereira avait été arrêtée en avril 1945 lors de la rafle qui avait décapité le PSUC et l’Agrupación guerrillera de Catalunya.
Bernardo Peralta Garcia était le frère aîné de Pedro avec lequel il milita à la CNT de la région de Berga-Figols (Barcelone). Sous le franquisme, il participa, semble-t-il, avec lui à la clandestinité avant de devoir passer en France vers la fin des années 1940. Il y milita à la CNT en exil à La (…)
Antonio Peral Serrano Bigotes avait fait parti à la mi-octobre 1944 des groupes de la 468e Brigade de guérilleros qui, dans le cadre de l’opération Reconquista de España, avaient pénétré au Val d’Aran dans la province de Huesca. A la mi-novembre, après avoir été considéré comme disparu au cours (…)
Libertad Perello Moran
Militante de la CNT, Libertad Perello Moran s’était enrôlé dans les milices confédérales de la zone d’Utiel (Valence) puis ultérieurement à Teruel sur le front d’Aragon. A la fin de la guerre, elle fit vraisemblablement partie du réseau d’évasion mis en place (…)
Militant du parti communiste, Rogelio Pereiras Estevez avait été élu conseiller municipal du Front populaire lors des élections de 1936. Après la coup d’État franquiste de juillet 1936, il avait tenté de passer au Portugal mais avait été capturé et emprisonné à Salvatera de Miño puis à (…)