FRancisco Reinosa avait été l’un des 11 militants socialistes (voir Rafael Gonzalez Gil) traduits devant un conseil de guerre tenu à Ocaña et contre lequel le rocureur avait requis une peine de 30 ans de prison.
Le dictionnaire des guérilleros et résistants antifranquistes, tente de répertorier les hommes et femmes de toutes tendances (anarchistes, communistes, socialistes, sans parti) ayant participé pendant près de quarante ans, (1936-1975) souvent au prix de leurs vies ou de longues années de prison et souvent dans une indifférence générale, à la lutte contre la dictature franquiste. Ce travail a été commencé il y a plus de vingt ans par l’historien libertaire Antonio Tellez Sola (1921-2005) en collaboration avec Rolf Dupuy du [*Centre International de Recherches sur l’Anarchisme*] (CIRA).
FRancisco Reinosa avait été l’un des 11 militants socialistes (voir Rafael Gonzalez Gil) traduits devant un conseil de guerre tenu à Ocaña et contre lequel le rocureur avait requis une peine de 30 ans de prison.
Vicente Ruiz Oliva était un militant de la Fédération nationale des industries ferroviaires (FNIF) de la CNT d’Andalousie. Arrêté à la fin de la guerre i fut emprisonné et contractait une maladie dont il devait décéder à Malaga vers l’été 1950.
Ses deux fils étaient réfugiés en Afrique du Nord.
Au début de l’été 1950 le militant socialiste Manuel Raso avait été arrêté à Sestao avec Julian Gonzalez pour avoir distribué des tracts antifranquistes. Il avait ensuite été hospitalisé à Basurto pour commotion cérébrale suite aux coups reçus au commissariat.
Antonio Reverter Pedro avait été arrêté à Barcelone début 1950 avec Antonio Soriano Ruiz et Mariano Pelaez Garcia tous accusés d’activités antifranquistes.
Dans la nuit du 12 novebre 1947 José Ramos Sevillano avait été arrêté dans le quartier du Pacifico à Madrid avec Javier Jimenez, Antonio Nieto Serrano, Luis Horcajada et Francisco de la Torre, tous soupçonnés d’appartenir à un groupe armé.