Francisco Hernandez Diaz avait été arrêté en juillet 1953 avec une vingtaine d’autres militants de la CNT – dont Juan Serna Rubio, Jesus Longas Casanova, Edgar Emilio Rodriguez Zurbaran, Fructuoso Grimaldo Moreno – lors de la rafle qui avait suivi la découverte par la police de l’imprimerie clandestine de Solidaridad Obrera à Barcelone. Suite aux tortures endurées lors des interrogatoires, il dut être transféré à l’asile de fous de San Baudillo de Llobregat (Barcelone).
Lors du procès tenu le 13 janvier 1960, ils furent tous laissés en liberté, les peines relativement légères ayant été couvertes par la détention préventive.