Consuelo Berges avait été membre pendant la guerre de l’organisation de femmes libertaires Mujeres libres et collaborait étroitement à la revue du même nom. Exilée en France à la fin de la guerre, elle a été internée en camp de concentration puis rapatriée en Espagne où elle allait subir la répression.
Ne pouvant exercer son métier de journaliste elle allait se consacrer à la traduction (en particulier de Stendhal, Proust et Saint Simon) et participer aux luttes pour obtenir des droits de traduction.
Á la fin de sa vie Consuelo Berges vivait à Madrid où elle est décédée le 23 décembre 1988.