Felipe Hernandez Gonzalez faisiat partie d’un groupe de quatorze prisonniers de l’arsenal militaire du Ferrol qui, dans la soirée du 19 août 1936, étaient amenés par la Guardia Civil et des phalangistes sur le mont San Felipe où, selon Mario Rico Cobas l’un des prisonniers, se serait trouvé une cachette d’armes et de documents du Front populaire. Selon la police, en cours de route les prisonniers auraient tenté de s’évader et, dans l’affrontement qui s’en était suivi, avaient été tués : Felipe Hernandez Gonzalez, Andreas Iglesias Garrote, Guillermo Cedron Gomez, Mario Rico Cobas, Carlos Pérez Fachal, Manuel Gonzalez Diaz, Venancio Pérez Blanco, José Rico Torrente, Antonio M. Fernandez Mourente et Ramon Hermo Miranda. Seuls quatre des prisonniers seraient parvenu à s’enfuir.
Il s’agit vraisemblablement d’une exécution collective justifiée au nom de la « loi de fuite ».