Militant du parti communiste, Rogelio Pereiras Estevez avait été élu conseiller municipal du Front populaire lors des élections de 1936. Après la coup d’État franquiste de juillet 1936, il avait tenté de passer au Portugal mais avait été capturé et emprisonné à Salvatera de Miño puis à Ribadavia.
Dans les années 1940 il continua de participer à la clandestinité et était un point d’appui de l’Ejercito Guerrillero de Galicia, son domicile servant de refuge et de dépôt d’armes. Traqué par la Guardia Civil, il parvint à passer au Portugal et à s’embarquer pour l’Uruguay où il arriva à Montevideo le 29 octobre 1950.
Rogelio Pereiras Estevez est mort à Montevideo dans les années 1990.