Au milieu des années 1940 José Vico Martínez était membre de la fédération locale de la CNT d’Ubeda (Jaén) avec entre autres José Salcedo Millán, Juan José Quiñones García, José Fernández López et Tomas Ruiz Ortega. L’organisation avait été reconstruite dans la province de Jaén grâce aux efforts du fontainier madrilène Enrique Alegre Martín après sa libération de la prison de Jaén en octobre 1943.
Début 1947 une vaste rafle dans laquelle seront arrêtés 52 militants de la province, démantèlera les comités de Jaén, Ubeda, Bedmar, Linares et Torreperogil. Jeronimo Vico Martínez fut l’un des rares militants à pouvoir s’enfuir dès les premières arrestations.