Antonio Ruiz Gómez faisait partie de l’organisation clandestine du PCE à Malaga. Il fut traduit devant le conseil de guerre réuni à la prison de Malaga le 29 janvier 1948, accusé d’avoir déployé dies drapeaux républicains et d’avoir écrit sur les murs la lettre R (pour République et Résistance). Il a été condamné à douze ans de prison.
Au même conseil de guerre avaient été condamnés à mort Alfredo Cabello Gómez-Acebo Martín, Francisco Moreno Morilla et Juan Aparicio, exécutés tous les trois le 5 mars suivant.
Antonio Ruiz Gomez a été remis en liberté conditionnelle en janvier 1950.