Antonio Rodríguez Santamaria était membre des Jeunesses libertaires (FIJL) et des groupes de guérilla urbaine à Barcelone. Il a été fusillé au camp de la Bota, Barcelone, le 3 février 1948, avec Victoriano Ruiz Cecilia, Antonio Casas Lluis et Eugenio Mansilla Gómez. Accusés de "banditisme et terrorisme", ils avaient été condamnés à mort comme auteurs d’un hold-up commis à l’entreprise Battle S.A. le 2 janvier 1946 où l’attaque menée par six hommes avait rapporté 200 000 pesetas.
Un autre membre de la CNT, Francisco Marín Nieto, accusé d’avoir également participé à ce hol up sera fusillé le 15 décembre 1949