Militant anarchiste en Arargon depuis son adolescence, José Portoles avait émigré à Barcelone au début de la dictature de Primo de Rivera. Lors du coup d’État franquiste de juillet 1936, il participa ax combats de rues, puis mis sa boulangerie au service de la collectivité. Passé en France lors de la Retirada en février 1939, il retourna clandestinement à Barcelone en 1941. Il participa alors à la clandestinité, maintenant les contacts avec les compagnons et notamment avec Camarasa, au moins jusqu’en 1947. Tout en restant fidélé à ses convictions libertaires, il cessa sans doute ensuite tout militantisme actif. José Portoles est décédé à Barcelone en 1970.