Argentina Ordiz était la compagne du guérillero communiste Aladino Suarez Aladinoavec lequel elle aura un fils que les autorités franquistes refuseront d’enregistrer à l’état civil de Sotondrio ; c’est Aladino Suarez qui, de nuit, ira inscrire lui-même son fils sur le registre du tribunal avec le message suivant « Malheur à ceux qui ne respecteront pas cette mention légale de mon fils ».
ORDIZ, Argentina
Oviedo (Asturies)