Fils du militant libertaire Manuel Montes Don, Manuel Montes Babio participait en 1948 à la clandestinité alors qu’il était soldat dans un bataillon de transmissions. Arrêté début 1948, il fut condamné à 3 ans de prison et interné à Alcala de Hénarés dont il fut libéré en février 1950. Dans les années 1970 il servait de contact à La Corogne au mouvement libertaire en exil.
Son père avait été fusillé avec l’un de ses frères Carlos en 1936 et un autre de ses frères, Antolin, participa à la guérilla.