Antonio Lopez Molina résidait à Jativa (Valence) et, pendant la guerre fut lieutenant dans l’armée républicaine. A la fin de la guerre il fut condamné à 15 ans de réclusion, peine qui fut finalement commuée en assignation à résidence à Malaga. Dans les années 1940 il participait à la propagande dans la région et était fiché par la police comme « un extrémiste dangereux ». Puis il parvenait à revenir à Jativa où, suite aux rafles effectuées à Malaga en 1946 contre les militants commmunistes, et suite à des déclarations faites par certains d’entre eux, il était convoqué par le juge, était condamné à un an de prison mais devait également subir la peine précédente de 15 ans.