Antonio Castell Fernández faisait partie du groupe de trente deux militants de la CNT et de la Fédération Ibérique des jeunesses Libertaires (FIJL) accusés “d’espionnage” pour avoir diffusé un manifeste clandestin amené de France par Agustin Remiro Manero et qui ont été traduits devant le conseil de guerre qui s’est ouvert à Valence le 8 novembre 1941. A ce procés ont été prononcées trois sentences de vingt ans et un jour de prison, huit de trente ans de réclusion et dix peines de mort, dont trois seront exécutées le 19 novembre : Angel Tarín Haro, Enrique Goig Tostado et Enrique Escobedo Vaello. Les autres peines de mort seront commuées en trente années de détention le 13 janvier 1942. Antonio Castell Fernández, avec sept autres des accusés, a été condamné à six ans et un jour de prison.
Né à Valence
CASTELL FERNÁNDEZ, Antonio
Mécanicien - MLE - CNT - Valence (Levant)