Arrêté lors de la chute de l’imprimerie clandestine de Solidaridad obrera en mai 1954, Juan Vicente Castell qui n’avait rien à voir avec cette affaire, avait été condamné à une peine de prison. Dès son entrée en prison, il déclarait à Manuel Llatser Tomas : “Je suis ici pour n’avoir rien fait, mais je t’assure que si je vais à nouveau en prison, ce sera pour quelque chose”.
Dans les années 1980 il participait à la fondation de la revue libertaire Ideas (puis Orto) de Barcelone. En 1986 il s’occupait de la Société d’histoire sociale de Santa Coloma de Gramenet.