Alfonso Cara Vargas, qui était marié à Martirio Valverde et était le père de six enfants (Juan, Isabel, Francisco, Martirio, Alfonso et Maria) avait été lors de la République le maire socialiste d’Albondon (Grenade).
A la fin de la guerre civile et pur échapper à la réprssion, Alfonso Cara Vargas Capacho avait gagné la Sierra avec un peti groupe de guérilleros qui allaitêtre actif jusqu’en 1944. Fin 1944, lors d’un accrochage avec la Guardia Civil, il avait été grièvement blessé à une jambe et décédait peu après de la gangrèe qui s’en était suivi.
Ce n’est que dans les années 1950 que l’un de ses fils, Francisco Cara Valverde, qui avait émiigré à Aviles (Asturies) pour y travailler comme coffreur sur le chantier des Hauts Fourneaux, avait appris les circonstances de la mort de son père par El Tuerto Majuana, sans doute un ancien compagnon du groupe.
En 1939 ou 194, un homonyme, Alfonso Cara Vargas (né en février 1896 à la ferme Ocañas de Albuñol), qui n’avait rien à voir avec la guérilla, avait été arrêté et allait passer 7 années en prison avant que les autorités ne s’apperçoivent de leur erreur. Ce Cara Vargas est décédé en 1957 à Albuñol.