Crescencio Lopez était un collaborateur de l’Agrupacion guerrillera de Levante (AGL). Il fut arrête au printemps 1947 lors d’une rafle à Higueruelas. Tortuiré à l’électricité à la caserne de Arrancapinos, il devait décéder peu après son retour chez lui des suites des 17 décharges électriques subies.
Un autre compagnon, Joaquin Alcorisa, arrêté en même temps que lui était décédé sous la torture dans la même caserne.