Militante des Jeunesses libertaires (FIJL), Dolores Rodriguez Fernandez était dans les années 1930 la compagne d’Antonio Cañete Rodriguez. Lors du coup d’État franquiste de juillet 1936, elle contribua à sauver et cacher plusieurs camarades dans le quartier de l’Albaicin à Grenade.
Après la guerre elle continua de participer à la clandestinoté et notamment à cacher plusieurs guérilleros libertaires, jusqu’en 1948 où, pour échapper à la répression, elle dut passer en France avec son compagnon. Elle continia d’y militer à la CNT et à la Solidarité internationale antifasciste (SIA) à Roanne (Loire) où elle est décédée le 11 juin 1959.