José Ramos Arizo était membre de la CNT reconstituée dès la fin de la guerre civile à Valence. Il fit partie du groupe de 32 militants de la CNT et des jeunesses libertaires (FIJL) accusés « d’epionnage » pour avoor notamment diffusé un manifeste appelant à la neutralité de l’Espagne dans le conflit mondial, manifeste amené de France par Agustin Remiro Manero. Tous furent traduits devant un conseil de guerre réuni à Valence le 8 novembre 1941. José Ramos Arizo fut condamné à 2 ans de prison.
A ce même conseil avaient été pronocées 3 sentences de 20 ans de prison, 8 de 30 ans et 10 peines de mort dont 3 – celles d’Angel Tarin Haro, Enrique Goig Lostado, Enrique Escobedo Vaello – seront éxécutées le 19 novembre suivant. Les 7 autres peines de mort seront commuées le 13 janvier 1942.