Adhérent à la FAI et au syndicat CNT de la construction depuis son adolescence, Mauricio Palau Casas milita également aux Jeunesses libertaires (FIJL) de Tarrasa où il fut l’un des fondateurs de l’Ateneo Faros. Après l’échec du coup d’État franquiste à Barcelone, il partit comme milicien d’abord sur le front du Levant où il fut commissaire d’un bataillon puis en Andalousie.
Fait prisonnier à la fin de la guerre dans la nasse d’Alicante, il fut interné au camp d’Albatera et de Los Almendros, aux arènes de Valence puis à la prison de Montjuich. Condamné à 12 ans de prison, il fut remis en liberté provisoire après 5 années passées derrière les barreaux.
Mauricio Palau Casas, qui avait pour compagne Concha Pérez, continua d’entretenir des contacts avec la CNT jusqu’à son décés survenu à Tarrasa en 1972.