José Padilla Suarez avait adhéré à la CNT dès sa restructuration à Adra (Almeria) en février 1936. Dès le mois suivant il fit partie de la commission chargée de présenter les revendications ouvrières aux patrons de l’industrie sucrière. Il était également membre des Jeunesses libertaires (FIJL).
Pendant la guerre et la révolution, il fut membre du Comité de ravitaillement d’Adra, du comité de liaison CNT-UGT et fut secrétaire du Comité de l’industrie sucrière. Arrêté à Castellon (Levant) à la fin de la guerre, il fut transféré à la prison de Berja, où il fut torturé et fusillé.