Antonio Ariso était l’animateur de la CNT à Albalate. Après l’insurrection de décembre 1933 il avait été condamné à une lourde peine de prison et était resté deux ans interné à Alcala de Hénares.
Pendant la guerre civile il était milicien dans la Colonne Durruti où il était également secrétaire des groupes culturels de la Fédération Ibérique des jeunesses Libertaires (FIJL). Il avait participé à la création de groupes de sabotages en territoire franquiste, mais avait sans doute fait quelques erreurs puisqu’il avait été sur le point d’être fusillé par ses propres camarades.
Antonio Ariso est mort en exil à Toulouse en décembre 1984.