Andrés Granero était arrivé encore adolescent en Catalogne où il commença à travailler dans les mines de Suria et à militer dans le mouvement libertaire.
Après la victoire franquiste, il participa activement à la clandestinité avant de devoir passer en France pour échapper à la répression. Mineur à Fontpédrouse (Pyrénées-Orientales), il assura plusieurs missions de liaison entre l’exil et l’intérieur. Andrés Granero est mort de silicose à Oseja le 6 mars 1974.