Fermin Gonzalez Rodriguez Jesusa s’était intégré en juin 1948 à l’Agrupación Roberto de José Muñoz Lozano Roberto dans la segonde compagnie commandée par Francisco Lopez Pérez Polopero. En octobre suivant il désertait mais ne se rendait pas avant le 25 janvier 1949 dans les circonsatances suivantes : après la mort de membres de la Guardia Civil à Trevélez, cinq habitants, qui n’avaient rien à voir avec les faits, avaient été fusillés ; Fermin Gonzalez Rodriguez qui avait l’intention de partir pour la France, avait alors appris que son frère, qui n’avait rien fait d’autre que soigner des guérilleros, risquait le même sort si lui-même ne se rendait pas. Lors de sa reddition il était en possession d’un pistolet et d’une grenade. Laissé en liberté jusqu’à mai 1950, il fut jugé et condamné à deux ans de prison. Fermin Gonzalez Rodriguez a été remis en liberté le 5 février 1951.
En octobre 1964 il se distingua particulièrement lors des recherches et de l’aide apportées aux victimes de l’accident d’un avion français qui s’était écrasé dans la Sierra Nevada.