Originaire du sud de l’Espagne, Antonio Gonzalez Ripoll avait adhéré très jeune à la Fédération Ibérique des Jeunesses Libertaires (FIJL). Emprisonné à la fin de la guerre civile, il s’installait, à sa libération de prison, à Madrid où il travaillait dans le bâtiment et participait à la clandestinité.
A la mort de Franco, il participait à la reconstruction du syndicat CNT du bâtiment de Madrid, puis, à sa retraite, adhérait au syndicat CNT des retraités. Antonio Gonzalez Ripoll est décédé à Madrid le 14 novembre 1991.