José Gonzalez Puig était passé en France avec ses parents lors de la retirada de février 1939. La famille s’installa à Mazamet (Tarn). Rentré en Espagne pour y participer à la clandestinité, José Gonzalez Puig fut nommé membre du Cpmité régional catalan de la Fédération Ibérique des jeunesses libertaires (FIJL) lors du plenum clandestin tenu en août 1944. En décembre 1944 il était arrêté et emprisonné pendant deux mois à la Modelo pour « passage clandestin de frontière ». En 1948 il était membre du groupe Los Novatos et participait avec Francisco Sabaté Llopart à plusieurs attaques. Arrêté suite à une attaque en février 1949 dans laquelle un policier avait été tué, il était condamné à mort en novembre 1949 avec le compagnon José Lopez. En 1952 la peine était commuée en 25 ans de prison. Interné à la prison de Burgos, José Gonzalez Puig a été remis en liberté conditionnelle en 1960.
Il a ensuite travaillé comme employé à la sécurité sociale. A sa retraite il s’est installé à Burjasot.