Lors du déclenchement de la guerre civile Gregorio García Montejo était aux Asturies où il avait participé aux combats. Puis il avait gagné Madrid où il fut milicien dans une unité confédérale du front centre.
Gregorio García Montejo avait participé à la clandestinité sous le franquisme, mettant notamment les locaux de son travail à la disposition de la CNT.
A sa mort le 3 mars 1992 à Madrid, il appartenait au syndicat CNT des retraités, syndicat où il exerçait un poste de responsabilité.