Adrian Colás Buj s’était évadé le 1er septembre 1944 du camp de travail forcé d’Utrillas (Teruel) et s’était intégré aux premiers groupes de guérilla de la zone. Il passa ultérieurement en France après avoir traversé les Pyrénées à pieds. Il travailla plusieurs années sur le port de Marseille avant d’émigrer en Argentine où il refit sa vie et eut un fils, Luis.
Revenu en Espagne en 2000, il s’y installa à Valence où il devait décéder le 16 août 2014.