Membre de la Fédération ibérique des jeunesses libertaires (FIJL) Juan Moli Rique avait été arrêté en 1939. Au printemps 1948 il avait été traduite devant un conseil de guerre qui l’avait condamné à la peine de mort. Après avoir fait appel, il était transféré à la prison de Barcelone où il allait passé quarante mois. Le 2 février 1952, il fut traduit devant un nouveau conseil de guerre contre 27 militants de la CNT. La peine de mort fut une nouvelle fois confirmée et il fut alors transféré dans les cellules de condamnés. Fin avril ou début mai, la peine fut commuée en longue détention.