José Alonso Pérez Litri, avait adhéré très jeune au syndicat CNT du bois de Valence. Pendant la guerre il fut d’abord membre des services de renseignement puis alla au front. Fait prisonnier dans le port d’Alicante, il parvint à s’échapper et gagna Barcelone où il se cacha puis trouva un travail aux studios de cinéma Orfea ce qui lui permit d’aide de très nombreux compagnons. Il y participa également à la clandestinité, étant l’un des organisateurs du groupe Levante de Barcelone et s’intégrant à plusieurs reprises au Comité régional catalan de la CNT.
Sur le point d’être arrêté, il passait en France en 1948 avant d’émigrer aux Amériques. Il s’installa d’abord à La Paz où il monta un atelier de charpentes. Puis il alla en Uruguay où il devint d’abord concierge au Centre républicain espagnol de Montevideo avant de monter une nouvel atelier de charpentes qui fut relativement prospère.
Jusqu’à son décès à Montevideo en 1985, José Alonso Pérerz avait toujours maintenu les contacts avec la CNT.