José Farré avait adhéré encore très jeune au mouvement libertaire et à la CNT. En 1929 il résidait à Valls d’où il souscrivait dans la Revista blanca en faveur des prisonniers politiques.
Après la victoire franquiste il fut interné plusieurs années dans des camps et en prison avant de devoir passer en France où il continua de militer à la FL-CNT de Bagnères de Bigorre jusqu’à son décès le 19 décembre 1989.