Militant de la Fédération nationale des industries ferroviaires (FNIF) de la CNT à Madrid, Constantino Fuertes avait été emprisonné avant la guerre civile. Pendant la guerre il fut particulièrement actif à l’Athénée libertaire du quartier de Vallecas. Arrêté à la fin de la guerre, il fut emprisonné pendant plusieurs années avant d’être remis en liberté surveillée. Après avoir participé à la clandestinité à Madrid et dans d’autres lieux, il passa en France en 1949.
Installé à Bordeaux il y milita à la FL-CNT jusqu’à son décès à l’automne 1969.