Accusé d’avoir aidé les guérilleros, José Saborit avait été arrêté à la fin du mois de janvier 1948. Transféré au siège de la Guardia Civil d’Arrancapinos (Valence), il y fut torturé puis assassiné (“loi de fuite”) : la Guardia Civil déclarant qu’il avait été tué en tentant de s’évader au cours d’un interrogatoire.
SABORIT, José
tué début 1948 - Paysan – Valence (Levant)