Militant du syndicat CNT de la construction de San Feliu de Llobregat, Pedro Segura Varela avait été milicien dès le début du coup d’État franquiste dans la Centurie Pñalver sur le front d’Aragon. Opposé à la militarisation, il quitta le front en avril 1937. En 1938 il revint au front et participa aux combats du Centre jusqu’à la fin de la guerre.
Fait prisonnier, il fut interné à San Feliu, Saragosse et Barcelone. Remis en liberté provisoire en 1944, il fut l’objet d’une surveillance constante jusqu’à son décès survenu à Horta (Barcelone) le 15 octobre 1955.