Antonio Olaya Hernandez qui avait émigré à Barcelone à la fin des années 1920, y avait appris le métier d’ébéniste dans l’atelier du compagnon Ginés Camarasa et avait adhéré à la CNT.
Lors du coup d’État franquiste de juillet 1936, il participa aux combats de rue, puis s’enrôla comme miliciien dans une colonne confédérale. Après avoir été blessé en 1937 il fut renvoyé à l’arrière. Après la guerre il continua de travailler dans son entreprise avant d’être embauché dans les années 1940 à l’usine Hispano-Olivettioù il adhéra à la CNT clandestine et aida son cousin Antonio Olaya Bellod dans ses activités clandestines en faveur de la confédération.