Lors du coup d’État franquiste de juillet 1936, Andres Sanchez Marquez Caraviejo avait été nommé membre du Comité révolutionnaire d’Ojen (Malaga). En avril 1937 il avait gagné la Sierra Blanca où s’étaient formés divers groupes de fugitifs et guérilleros.
En 1940, selon le Guardia Civil F. Aguado Sanchez, Caraviejo était membre du groupe de Palmero (José Gonzalez Cismmedo ou Joaquin Gil Fernandez ?) et de Marcelino qui étaient actif sur les districts de Marbella, Istan et Ojen (Malaga) et dont faisaient également partie José Lopez Barranco Madroño, Francisco Guerrero Martin Hogaza, Miguel Ortiz Marquez Espartero et Miguel Marquez Mata Feo tous originaires d’Ojen. Tous se rendirent aux autorités en mars 1941 après avoir reçu la promesse d’être amnistiés.